Différences entre les versions de « Septuagésime »
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| − | "Le temps de la Septuagésime, qui ouvre le cycle pascal, entre déjà dans ce qui fera tout le sujet de la liturgie du Carême et du temps pascal (''[[Pâques|Pâques]]''): le passage de l'humanité, de l'état de déchéance et d'[[esclavage|esclavage]] où l'a mise le péché, à un relèvement et une libération que Dieu seul peut lui accorder. | + | "Le temps de la Septuagésime, qui ouvre le cycle pascal, entre déjà dans ce qui fera tout le sujet de la liturgie du Carême et du temps pascal (''[[Pâques|Pâques]]''): le passage de l'humanité, de l'état de déchéance et d'[[esclavage|esclavage]] où l'a mise le péché, à un relèvement et une libération que Dieu seul peut lui accorder. |
| − | (Source: ''Missel vespéral'', Imprimatur 1933, Nouvelle édition mise en conformité avec le Missel romain de 1962, Editions D.F.T., Saint-Etienne 2003, p. | + | [...] Le temps du Carême qui dure quarante jours (Quadragésime) et celui de la septuagésime qui est désigné par les trois dizaines précédentes (Quinquagésime, Sexagésime, Septuagésime) représentend donc bien les soixante-dix années (le mot ''septuagésime'' rappelle le chiffre) qu'Israël passa en exil sous la dure captivité des Babyloniens. |
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| + | "Cette période liturgique [...] se présente donc comme une période de lutte et d'efforts qu'il faut mener avec le Christ et qui doit aboutir, grâce à lui, à la victoire et à la joie de [[Pâques|Pâques]]. Au matin de Pâques, du tombeau du Christ jaillira la vie nouvelle des baptisés, ressuscités avec lui." | ||
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| + | (Source: ''Missel vespéral'', Imprimatur 1933, Nouvelle édition mise en conformité avec le Missel romain de 1962, Editions D.F.T., Saint-Etienne 2003, p. 292, 292 c.) | ||
Version du 13 février 2006 à 13:02
"Le temps de la Septuagésime, qui ouvre le cycle pascal, entre déjà dans ce qui fera tout le sujet de la liturgie du Carême et du temps pascal (Pâques): le passage de l'humanité, de l'état de déchéance et d'esclavage où l'a mise le péché, à un relèvement et une libération que Dieu seul peut lui accorder.
[...] Le temps du Carême qui dure quarante jours (Quadragésime) et celui de la septuagésime qui est désigné par les trois dizaines précédentes (Quinquagésime, Sexagésime, Septuagésime) représentend donc bien les soixante-dix années (le mot septuagésime rappelle le chiffre) qu'Israël passa en exil sous la dure captivité des Babyloniens.
"Cette période liturgique [...] se présente donc comme une période de lutte et d'efforts qu'il faut mener avec le Christ et qui doit aboutir, grâce à lui, à la victoire et à la joie de Pâques. Au matin de Pâques, du tombeau du Christ jaillira la vie nouvelle des baptisés, ressuscités avec lui."
(Source: Missel vespéral, Imprimatur 1933, Nouvelle édition mise en conformité avec le Missel romain de 1962, Editions D.F.T., Saint-Etienne 2003, p. 292, 292 c.)