Différences entre les versions de « Droits »

De Christ-Roi
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'''Les [[droits|droits]] les plus élémentaires de toute société; droits et vérités qui furent toujours sacrés chez les peuples païens, qui le sont encore chez les nations barbares et même chez les hordes sauvages: DIEU, la distinction du bien et du mal, la [[famille|famille]], la propriété, l'homme!'''  
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"Il faut que les plus grandes intelligences de l'époque prennent sérieusement ''la défense'' des vérités et des '''droits les plus élémentaires de toute société; droits et vérités qui furent toujours sacrés chez les peuples païens, qui le sont encore chez les nations barbares et même chez les hordes sauvages:'''
 
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* DIEU,  
(Ces peuples païens et ces hordes sauvages respectent encore la [[loi naturelle|loi naturelle]].)
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* la distinction du bien et du mal,  
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* la [[famille|famille]],  
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* la propriété,  
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* l'homme!''' (Ces peuples païens et ces hordes sauvages respectent encore la [[loi naturelle|loi naturelle]], chose que nous ne faison même plus!)
  
 
Or, quand la barbarie est ''dans les idées'', son passage dans les moeurs et dans les faits n'est plus qu'une question de temps. [...] Voilà ce qui nous menace, ce qui nous arrivera aussi infailliblement que la nuit au déclin du soleil, si on ne se hâte d'élever la seule digue capable de prévenir la dernière catastrophe. Cette digue, c'est la [[foi|foi]]; et ce qui doit être l'application immédiate, l'application ''sociale'' de la foi, c'est la sanctification du [[dimanche|dimanche]]."  
 
Or, quand la barbarie est ''dans les idées'', son passage dans les moeurs et dans les faits n'est plus qu'une question de temps. [...] Voilà ce qui nous menace, ce qui nous arrivera aussi infailliblement que la nuit au déclin du soleil, si on ne se hâte d'élever la seule digue capable de prévenir la dernière catastrophe. Cette digue, c'est la [[foi|foi]]; et ce qui doit être l'application immédiate, l'application ''sociale'' de la foi, c'est la sanctification du [[dimanche|dimanche]]."  
  
 
([[Mgr Gaume| Mgr Gaume]], ''La profanation du dimanche considérée au point de vue de la religion, de la société, de la famille, de la liberté, du bien-être, de la dignité humaine et de la santé'', [http://editions.saint-remi.chez.tiscali.fr/ Editions Saint-Rémi], p. 64-66.)
 
([[Mgr Gaume| Mgr Gaume]], ''La profanation du dimanche considérée au point de vue de la religion, de la société, de la famille, de la liberté, du bien-être, de la dignité humaine et de la santé'', [http://editions.saint-remi.chez.tiscali.fr/ Editions Saint-Rémi], p. 64-66.)

Version actuelle datée du 23 février 2006 à 19:46

"Il faut que les plus grandes intelligences de l'époque prennent sérieusement la défense des vérités et des droits les plus élémentaires de toute société; droits et vérités qui furent toujours sacrés chez les peuples païens, qui le sont encore chez les nations barbares et même chez les hordes sauvages:

  • DIEU,
  • la distinction du bien et du mal,
  • la famille,
  • la propriété,
  • l'homme! (Ces peuples païens et ces hordes sauvages respectent encore la loi naturelle, chose que nous ne faison même plus!)

Or, quand la barbarie est dans les idées, son passage dans les moeurs et dans les faits n'est plus qu'une question de temps. [...] Voilà ce qui nous menace, ce qui nous arrivera aussi infailliblement que la nuit au déclin du soleil, si on ne se hâte d'élever la seule digue capable de prévenir la dernière catastrophe. Cette digue, c'est la foi; et ce qui doit être l'application immédiate, l'application sociale de la foi, c'est la sanctification du dimanche."

( Mgr Gaume, La profanation du dimanche considérée au point de vue de la religion, de la société, de la famille, de la liberté, du bien-être, de la dignité humaine et de la santé, Editions Saint-Rémi, p. 64-66.)