Fatima:La fausse soeur Lucie

De Christ-Roi
Révision datée du 24 septembre 2016 à 23:39 par Bixen (discussion | contributions)
Aller à la navigation Aller à la recherche
Fichier:NomImage.jpg
La fausse sœur Lucie
Souriante, insouciante, aux dents courtes, jointives et bien rangées

Le 26 décembre 1957, dix ans plus tôt, la vraie sœur Lucie rencontrait le Père Fuentes. Ce dernier rapporta une partie de son entretien, le 22 mai 1958 au Mexique. Elle lui dit:

  • Le démon (...) fait tout pour gagner les âmes consacrées à Dieu [religieux], car de cette manière il laisse le champ des âmes [des fidèles] désemparé, et ainsi il s’en emparera plus facilement.
  • La très Sainte Vierge très triste en toutes ses apparitions. Elle n’a jamais souri avec nous et cette tristesse, cette angoisse, que nous remarquions chez elle, à cause des offenses à Dieu et des châtiments qui menacent les pécheurs.
  • N’attendons pas que vienne de Rome un appel à la pénitence de la part du Saint-Père pour le monde entier.
  •  Il y a deux moyens pour sauver le monde  : la prière et le sacrifice.



La vraie sœur Lucie
Ne souriant que très rarement, elle a gardé en mémoire une vision de l'enfer qui la hante.
Ses dents sont longues, écartées et mal rangées[1]

Le 2 juillet 1959, l'évêché de Coimbra au Portugal réagit brutalement à ces propos: « Sœur Lucie n'a rien à dire sur Fatima ». Le Père Fuentes fût écarté et sœur Lucie astreinte au silence. En 1962, Maria de Freitas remarque que « de plus en plus les visites à sœur Lucie sont interdites; de plus en plus elle devient invisible. »[2].

Le 13 mai 1967, Paul VI présente au monde une nouvelle sœur Lucie, très souriante.

Or la véritable sœur Lucie ne sourie que très rarement. Elle a gardé en mémoire une vision de l'enfer qui la hante et la fait sans cesse prier pour la salut des âmes.


  1. Photo reproduite dans TLVF, Tome III, cahier central
  2. TLVF, Tome III, p.506