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De Christ-Roi
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Il est, avec Martin [[Luther|Luther]], l'un des initiateurs de la prétendue "Réforme", en opposition à certains dogmes et rites de l'Église catholique romaine. Il développe une doctrine relativement différente de celle de Luther, doctrine qu'il expose dans son ''Institution de la religion chrétienne'', mais c'est surtout par la pratique du culte que le calvinisme se distingue du luthéranisme. On considère la doctrine de Calvin comme une radicalisation de celle de Luther.
 
Il est, avec Martin [[Luther|Luther]], l'un des initiateurs de la prétendue "Réforme", en opposition à certains dogmes et rites de l'Église catholique romaine. Il développe une doctrine relativement différente de celle de Luther, doctrine qu'il expose dans son ''Institution de la religion chrétienne'', mais c'est surtout par la pratique du culte que le calvinisme se distingue du luthéranisme. On considère la doctrine de Calvin comme une radicalisation de celle de Luther.
  
===Un saint? un apôtre de l'Eglise primitive ?===
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==Un saint? un apôtre de l'Eglise primitive?==
 
"[...] Calvin, ecclésiastique aussi, a été convaincu de moeurs infâmes contre nature, et, comme tel, marqué par le bourreau (ce fait semble acquis à l'histoire. Un auteur catholique ayant reproché aux calvinsites ces honteux stigmates de leur patriarche, le calviniste Whitaker eut l'effronterie sacrilège de répondre: "Si Calvin a été stigmatisé, saint Paul et bien d'autres l'ont été de même").
 
"[...] Calvin, ecclésiastique aussi, a été convaincu de moeurs infâmes contre nature, et, comme tel, marqué par le bourreau (ce fait semble acquis à l'histoire. Un auteur catholique ayant reproché aux calvinsites ces honteux stigmates de leur patriarche, le calviniste Whitaker eut l'effronterie sacrilège de répondre: "Si Calvin a été stigmatisé, saint Paul et bien d'autres l'ont été de même").
  
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Tous les ''saints'' de la "réforme" sont de ce calibre. Chacun sait la pureté ''sans tache'' et la douceur ''évangélique'' de [[Henri VIII|Henri VIII]], le réformateur de l'Angleterre. Ce misérable, vrai Barbe-Bleue, eut six femmes, à qui il fit couper la tête à mesure qu'il fut dégoûté d'elles. Sa fille, la reine ''vierge'' Elisabeth, qui consomma l'oeuvre de Henri VIII, n'a pas été moins célèbre sous les mêmes rapports. La même hache a pu couper la tête des maîtresses du père et des amants de la fille.
 
Tous les ''saints'' de la "réforme" sont de ce calibre. Chacun sait la pureté ''sans tache'' et la douceur ''évangélique'' de [[Henri VIII|Henri VIII]], le réformateur de l'Angleterre. Ce misérable, vrai Barbe-Bleue, eut six femmes, à qui il fit couper la tête à mesure qu'il fut dégoûté d'elles. Sa fille, la reine ''vierge'' Elisabeth, qui consomma l'oeuvre de Henri VIII, n'a pas été moins célèbre sous les mêmes rapports. La même hache a pu couper la tête des maîtresses du père et des amants de la fille.
  
[[Calvin|Calvin]] en particulier, mérite notre attention à nous autres Français. C'est lui qui a introduit le [[protestantisme|protestantisme]] dans notre [[patrie|patrie]]. Personne ne l'a mieux dépeint que le protestant calviniste Galiffe, dans ses ''Notices généalogiques'', publiées à Genève même en 1836: "Ce nom criminellement fameux, dit-il, qui dressa l'étendard de l'intolérance la plus féroce, des superstitions les plus grossières et des dogmes les plus impies; épouvantable apôtre, à l'inquisition de qui rien ne pouvait échapper; qui, dans les deux années 1558 et 1559, fit exécuter quatre cent quatorze jugements en matière criminelle, etc." M. Galiffe l'appelle, en outre, un ''buveur de sang'', et prouve chacune de ses assertions par les écrits mêmes de Calvin et par les Archives publiques et authentiques de Genève" ([[Mgr de Ségur|Mgr de Ségur]], ''Causeries sur le protestantisme d'aujourd'hui'', Libraie Saint-Joseph, Tolra libraire-éditeur, Rennes 1894, réédité aux [http://editions.saint-remi.chez.tiscali.fr/ Editions Saint-Rémi], p. 102-103.)
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[[Calvin|Calvin]] en particulier, mérite notre attention à nous autres Français. C'est lui qui a introduit le [[protestantisme|protestantisme]] dans notre [[patrie|patrie]]. Personne ne l'a mieux dépeint que le protestant calviniste Galiffe, dans ses ''Notices généalogiques'', publiées à Genève même en 1836: "Ce nom criminellement fameux, dit-il, qui dressa l'étendard de l'intolérance la plus féroce, des superstitions les plus grossières et des dogmes les plus impies; épouvantable apôtre, à l'inquisition de qui rien ne pouvait échapper; qui, dans les deux années 1558 et 1559, fit exécuter quatre cent quatorze jugements en matière criminelle, etc." M. Galiffe l'appelle, en outre, un ''buveur de sang'', et prouve chacune de ses assertions par les écrits mêmes de Calvin et par les Archives publiques et authentiques de Genève" ([[Mgr de Ségur|Mgr de Ségur]], ''Causeries sur le protestantisme d'aujourd'hui'', Libraie Saint-Joseph, Tolra libraire-éditeur, Rennes 1894.)
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===Un être "violent et pervers" (Volmar)===
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"Voyons maintenant comment a été jugé Calvin par ses frères en réformation, par ceux qui devaient avoir le plus grand intérêt à pallier ses défauts:
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"Calvin, dit [[Volmar|Volmar]] (voir Freundelfelf, ''Tableau analytique de l'histoire universelle'', tom. II, p. 369.), son premier professeur, Calvin est ''violent et pervers''; tant mieux! voilà l'homme qu'il nous faut pour avancer nos affaires."
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==="un vrai chien enragé" (Bucer)===
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[[Bucer|Bucer]], moine apostat et prêtre marié, ajoute: "Calvin est ''un vrai chien enragé''; cet homme est mauvais... Garde-toi, ô lecteur chrétien! des livres de Calvin."
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=== "enfoncé dans la boue" (Théodore de Bèze)===
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Et [[Théodore de Bèze|Théodore de Bèze]], le disciple chéri de Calvin, voulez-vous savoir comment il traite son maître? "Calvin n'a jamais pu se former ni à la tempérance, ni à des habitudes honnêtes, ni à la véracité; il est demeuré ''enfoncé dans la boue''."
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(Source: [[Mgr de Ségur|Mgr de Ségur]], ''Causeries sur le protestantisme d'aujourd'hui'', Libraie Saint-Joseph, Tolra libraire-éditeur, Rennes 1894.)
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==Un chrétien évangélique qui appelle au meurtre des Jésuites==
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"Que dirai-je de Calvin, qui avait à chaque instant au bout de la plume les épithètes de ''fripons'', ''ivrognes'', ''fous furieux'', ''enragés'', ''bêtes'', ''taureaux'', ''porcs'', ''ânes'', ''chiens''; de Calvin, qui a tracé ces lignes déjà citées: "Quant aux Jésuites qui nous sont surtout contraires, il faut les tuer, ou, si cela ne se peut commodément faire, les chasser, ou tout au moins les écraser sous les mensonges et les calomnies." (Auguste Nicolas, ''Du protestantisme'', p. 469-470 cit. in [[Mgr de Ségur|Mgr de Ségur]], ''Causeries sur le protestantisme d'aujourd'hui'', Libraie Saint-Joseph, Tolra libraire-éditeur, Rennes 1894.)
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==Un apôtre de l'Evangile qui appelle à jeter à bas les rois et les princes en leur crachant au visage plutôt que leur obéir...==
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"Calvin prêchait hautement qu'il fallait jeter à bas les rois et les princes qui ne voulaient pas embrasser le [[protestantisme|protestantisme]], ''et leur cracher au visage plutôt que de leur obéir''.
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"Sous les ordres de [[Coligny|Coligny]], les calvinistes révolutionnaires formèrent le projet d'enlever dans son palais le roi de France encore enfant...; ayant manqué leur coup, ils s'emparèrent d'orléans, dévastèrent les bords de la Loire, la Normandie, l'Île de France, et particulièrement le Languedoc, où ils commirent les cruautés et profanations les plus odieuses" ([[Mgr de Ségur|Mgr de Ségur]], ''Causeries sur le protestantisme d'aujourd'hui'', Libraie Saint-Joseph, Tolra libraire-éditeur, Rennes 1894.)
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==Le coup manqué du vrai faux miracle de l'imposteur Calvin==
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"Calvin voulut une fois cependant essayer un petit miracle; malheureusement le coup manqua. Il avait payé un homme pour faire le mort afin de le ressusciter ensuite...; quand il arriva, suivi de la foule curieuse à laquelle il avait modestement annoncé cette preuve postiche de sa mission, la justice de DIEU avait frappé le compère, et Calvin manqua de mourir de peur en le trouvant vraiment mort dans son lit... Cette histoire est connue de tous et parfaitement authentique" ([[Mgr de Ségur|Mgr de Ségur]], ''Causeries sur le protestantisme d'aujourd'hui'', Libraie Saint-Joseph, Tolra libraire-éditeur, Rennes 1894.)
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==L'hérésiarque meurt dévoré par une fourmilière de vers==
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D'après le protestant Schusselburg (''théol. Calvin.'', t. II, p. 72), "Calvin mourut de la fièvre pourprée, dévoré par une fourmilière de vers, et consummé par un abcès ulcéreux, dont l'odeur infecte ne pouvait être supportée par aucun des assistants." Il exhala misérablement sa méchante âme, en désespérant de son salut, en invoquant les démons, et en proférant les jurements les plus exécrables et les blasphèmes les plus affreux.
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Jean Haren (J. Harenius, ''De vitâ Calvini''), disciple de Calvin et témoin oculaire de sa mort, rapporte également que "... Calvin est mort dans le désespoir, d'une de ces morts honteuses et dégoûtantes dont DIEU a menacé les impies et les réprouvés... Je puis l'attester en toute vérité, ajoute-t-il, puisque je l'ai vu de mes yeux."
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(Source: [[Mgr de Ségur|Mgr de Ségur]], ''Causeries sur le protestantisme d'aujourd'hui'', Libraie Saint-Joseph, Tolra libraire-éditeur, Rennes 1894.)

Version actuelle datée du 23 janvier 2010 à 22:43

                          Calvin.JPG
             Jean Cauvin, dit Calvin (Noyon, Picardie, 10 juillet 1509 - Genève, 27 mai 1564), 
                     hérésiarque et "humaniste" français.

Il est, avec Martin Luther, l'un des initiateurs de la prétendue "Réforme", en opposition à certains dogmes et rites de l'Église catholique romaine. Il développe une doctrine relativement différente de celle de Luther, doctrine qu'il expose dans son Institution de la religion chrétienne, mais c'est surtout par la pratique du culte que le calvinisme se distingue du luthéranisme. On considère la doctrine de Calvin comme une radicalisation de celle de Luther.

Un saint? un apôtre de l'Eglise primitive?

"[...] Calvin, ecclésiastique aussi, a été convaincu de moeurs infâmes contre nature, et, comme tel, marqué par le bourreau (ce fait semble acquis à l'histoire. Un auteur catholique ayant reproché aux calvinsites ces honteux stigmates de leur patriarche, le calviniste Whitaker eut l'effronterie sacrilège de répondre: "Si Calvin a été stigmatisé, saint Paul et bien d'autres l'ont été de même").

[...]

Tous les saints de la "réforme" sont de ce calibre. Chacun sait la pureté sans tache et la douceur évangélique de Henri VIII, le réformateur de l'Angleterre. Ce misérable, vrai Barbe-Bleue, eut six femmes, à qui il fit couper la tête à mesure qu'il fut dégoûté d'elles. Sa fille, la reine vierge Elisabeth, qui consomma l'oeuvre de Henri VIII, n'a pas été moins célèbre sous les mêmes rapports. La même hache a pu couper la tête des maîtresses du père et des amants de la fille.

Calvin en particulier, mérite notre attention à nous autres Français. C'est lui qui a introduit le protestantisme dans notre patrie. Personne ne l'a mieux dépeint que le protestant calviniste Galiffe, dans ses Notices généalogiques, publiées à Genève même en 1836: "Ce nom criminellement fameux, dit-il, qui dressa l'étendard de l'intolérance la plus féroce, des superstitions les plus grossières et des dogmes les plus impies; épouvantable apôtre, à l'inquisition de qui rien ne pouvait échapper; qui, dans les deux années 1558 et 1559, fit exécuter quatre cent quatorze jugements en matière criminelle, etc." M. Galiffe l'appelle, en outre, un buveur de sang, et prouve chacune de ses assertions par les écrits mêmes de Calvin et par les Archives publiques et authentiques de Genève" (Mgr de Ségur, Causeries sur le protestantisme d'aujourd'hui, Libraie Saint-Joseph, Tolra libraire-éditeur, Rennes 1894.)

Un être "violent et pervers" (Volmar)

"Voyons maintenant comment a été jugé Calvin par ses frères en réformation, par ceux qui devaient avoir le plus grand intérêt à pallier ses défauts:

"Calvin, dit Volmar (voir Freundelfelf, Tableau analytique de l'histoire universelle, tom. II, p. 369.), son premier professeur, Calvin est violent et pervers; tant mieux! voilà l'homme qu'il nous faut pour avancer nos affaires."

"un vrai chien enragé" (Bucer)

Bucer, moine apostat et prêtre marié, ajoute: "Calvin est un vrai chien enragé; cet homme est mauvais... Garde-toi, ô lecteur chrétien! des livres de Calvin."

"enfoncé dans la boue" (Théodore de Bèze)

Et Théodore de Bèze, le disciple chéri de Calvin, voulez-vous savoir comment il traite son maître? "Calvin n'a jamais pu se former ni à la tempérance, ni à des habitudes honnêtes, ni à la véracité; il est demeuré enfoncé dans la boue."

(Source: Mgr de Ségur, Causeries sur le protestantisme d'aujourd'hui, Libraie Saint-Joseph, Tolra libraire-éditeur, Rennes 1894.)

Un chrétien évangélique qui appelle au meurtre des Jésuites

"Que dirai-je de Calvin, qui avait à chaque instant au bout de la plume les épithètes de fripons, ivrognes, fous furieux, enragés, bêtes, taureaux, porcs, ânes, chiens; de Calvin, qui a tracé ces lignes déjà citées: "Quant aux Jésuites qui nous sont surtout contraires, il faut les tuer, ou, si cela ne se peut commodément faire, les chasser, ou tout au moins les écraser sous les mensonges et les calomnies." (Auguste Nicolas, Du protestantisme, p. 469-470 cit. in Mgr de Ségur, Causeries sur le protestantisme d'aujourd'hui, Libraie Saint-Joseph, Tolra libraire-éditeur, Rennes 1894.)

Un apôtre de l'Evangile qui appelle à jeter à bas les rois et les princes en leur crachant au visage plutôt que leur obéir...

"Calvin prêchait hautement qu'il fallait jeter à bas les rois et les princes qui ne voulaient pas embrasser le protestantisme, et leur cracher au visage plutôt que de leur obéir.

"Sous les ordres de Coligny, les calvinistes révolutionnaires formèrent le projet d'enlever dans son palais le roi de France encore enfant...; ayant manqué leur coup, ils s'emparèrent d'orléans, dévastèrent les bords de la Loire, la Normandie, l'Île de France, et particulièrement le Languedoc, où ils commirent les cruautés et profanations les plus odieuses" (Mgr de Ségur, Causeries sur le protestantisme d'aujourd'hui, Libraie Saint-Joseph, Tolra libraire-éditeur, Rennes 1894.)


Le coup manqué du vrai faux miracle de l'imposteur Calvin

"Calvin voulut une fois cependant essayer un petit miracle; malheureusement le coup manqua. Il avait payé un homme pour faire le mort afin de le ressusciter ensuite...; quand il arriva, suivi de la foule curieuse à laquelle il avait modestement annoncé cette preuve postiche de sa mission, la justice de DIEU avait frappé le compère, et Calvin manqua de mourir de peur en le trouvant vraiment mort dans son lit... Cette histoire est connue de tous et parfaitement authentique" (Mgr de Ségur, Causeries sur le protestantisme d'aujourd'hui, Libraie Saint-Joseph, Tolra libraire-éditeur, Rennes 1894.)

L'hérésiarque meurt dévoré par une fourmilière de vers

D'après le protestant Schusselburg (théol. Calvin., t. II, p. 72), "Calvin mourut de la fièvre pourprée, dévoré par une fourmilière de vers, et consummé par un abcès ulcéreux, dont l'odeur infecte ne pouvait être supportée par aucun des assistants." Il exhala misérablement sa méchante âme, en désespérant de son salut, en invoquant les démons, et en proférant les jurements les plus exécrables et les blasphèmes les plus affreux.

Jean Haren (J. Harenius, De vitâ Calvini), disciple de Calvin et témoin oculaire de sa mort, rapporte également que "... Calvin est mort dans le désespoir, d'une de ces morts honteuses et dégoûtantes dont DIEU a menacé les impies et les réprouvés... Je puis l'attester en toute vérité, ajoute-t-il, puisque je l'ai vu de mes yeux."

(Source: Mgr de Ségur, Causeries sur le protestantisme d'aujourd'hui, Libraie Saint-Joseph, Tolra libraire-éditeur, Rennes 1894.)