Calvin

De Christ-Roi
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             Jean Cauvin, dit Calvin (Noyon, Picardie, 10 juillet 1509 - Genève, 27 mai 1564), 
                     hérésiarque et "humaniste" français.

Il est, avec Martin Luther, l'un des initiateurs de la prétendue "Réforme", en opposition à certains dogmes et rites de l'Église catholique romaine. Il développe une doctrine relativement différente de celle de Luther, doctrine qu'il expose dans son Institution de la religion chrétienne, mais c'est surtout par la pratique du culte que le calvinisme se distingue du luthéranisme. On considère la doctrine de Calvin comme une radicalisation de celle de Luther.

Un saint? un apôtre de l'Eglise primitive?

"[...] Calvin, ecclésiastique aussi, a été convaincu de moeurs infâmes contre nature, et, comme tel, marqué par le bourreau (ce fait semble acquis à l'histoire. Un auteur catholique ayant reproché aux calvinsites ces honteux stigmates de leur patriarche, le calviniste Whitaker eut l'effronterie sacrilège de répondre: "Si Calvin a été stigmatisé, saint Paul et bien d'autres l'ont été de même").

[...]

Tous les saints de la "réforme" sont de ce calibre. Chacun sait la pureté sans tache et la douceur évangélique de Henri VIII, le réformateur de l'Angleterre. Ce misérable, vrai Barbe-Bleue, eut six femmes, à qui il fit couper la tête à mesure qu'il fut dégoûté d'elles. Sa fille, la reine vierge Elisabeth, qui consomma l'oeuvre de Henri VIII, n'a pas été moins célèbre sous les mêmes rapports. La même hache a pu couper la tête des maîtresses du père et des amants de la fille.

Calvin en particulier, mérite notre attention à nous autres Français. C'est lui qui a introduit le protestantisme dans notre patrie. Personne ne l'a mieux dépeint que le protestant calviniste Galiffe, dans ses Notices généalogiques, publiées à Genève même en 1836: "Ce nom criminellement fameux, dit-il, qui dressa l'étendard de l'intolérance la plus féroce, des superstitions les plus grossières et des dogmes les plus impies; épouvantable apôtre, à l'inquisition de qui rien ne pouvait échapper; qui, dans les deux années 1558 et 1559, fit exécuter quatre cent quatorze jugements en matière criminelle, etc." M. Galiffe l'appelle, en outre, un buveur de sang, et prouve chacune de ses assertions par les écrits mêmes de Calvin et par les Archives publiques et authentiques de Genève" (Mgr de Ségur, Causeries sur le protestantisme d'aujourd'hui, Libraie Saint-Joseph, Tolra libraire-éditeur, Rennes 1894, réédité aux Editions Saint-Rémi, p. 102-103.)

Un être "violent et pervers", "un vrai chien enragé", "enfoncé dans la boue"

"Voyons maintenant comment a été jugé Calvin par ses frères en réformation, par ceux qui devaient avoir le plus grand intérêt à pallier ses défauts:

"Calvin, dit Volmar (voir Freundelfelf, Tableau analytique de l'histoire universelle, tom. II, p. 369.), son premier professeur, Calvin est violent et pervers; tant mieux! voilà l'homme qu'il nous faut pour avancer nos affaires."

Bucer, moine apostat et prêtre marié, ajoute: "Calvin est un vrai chien enragé; cet homme est mauvais... Garde-toi, ô lecteur chrétien! des livres de Calvin."

Et Théodore de Bèze, le disciple chéri de Calvin, voulez-vous savoir comment il traite son maître? "Calvin n'a jamais pu se former ni à la tempérance, ni à des habitudes honnêtes, ni à la véracité; il est demeuré enfoncé dans la boue."

(Source: Mgr de Ségur, Causeries sur le protestantisme d'aujourd'hui, Libraie Saint-Joseph, Tolra libraire-éditeur, Rennes 1894, réédité aux Editions Saint-Rémi, p. 109-110.)

Le coup manqué du vrai faux miracle de l'imposteur Calvin

"Calvin voulut une fois cependant essayer un petit miracle; malheureusement le coup manqua. Il avait payé un homme pour faire le mort afin de le ressusciter ensuite...; quand il arriva, suivi de la foule curieuse à laquelle il avait modestement annoncé cette preuve postiche de sa mission, la justice de DIEU avait frappé le compère, et Calvin manqua de mourir de peur en le trouvant vraiment mort dans son lit... Cette histoire est connue de tous et parfaitement authentique" (Mgr de Ségur, Causeries sur le protestantisme d'aujourd'hui, Libraie Saint-Joseph, Tolra libraire-éditeur, Rennes 1894, réédité aux Editions Saint-Rémi, p. 105-106.)