Faisons de la journée de "commémoration" de l'esclavage du 10 mai, une "journée vérité sur l'esclavage" !

De Christ-Roi
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Le gouvernement français a promulgué le 21 mai 2001 la loi n° 2001-434 «tendant à la reconnaissance de la traite et de l'esclavage en tant que crime contre l'humanité» (*), à l'égal de la Shoah et des autres génocides du XXe siècle. Et le président Jacques Chirac a décidé d'instaurer une Journée du souvenir de l'esclavage le 10 mai, anniversaire du vote de la loi par le Sénat.

Cette loi inspirée par la députée guyanaise Christiane Taubira énonce dans son Article 1er : «La République française reconnaît que la traite négrière transatlantique ainsi que la traite dans l'océan Indien d'une part, et l'esclavage d'autre part, perpétrés à partir du xve siècle, aux Amériques et aux Caraïbes, dans l'océan Indien et en Europe contre les populations africaines, amérindiennes, malgaches et indiennes constituent un crime contre l'humanité».

(Source: André Larané, La traite, un crime contre l'humanité ?)

LA VERITE SUR L'ESCLAVAGE

Bernard Antony appelle tous les adhérents, militants et amis de l'AGRIF à préparer efficacement la journée de 'commémoration' de l’esclavage, le 10 mai. "Il conviendra de faire ressortir notamment les vérités suivantes :"

1. "L’esclavage a (...) été le fait aussi bien de la Chine, de l’Egypte, des empires aztèques ou incas, de la Grèce et de Rome, et des peuples d’Europe, d’Asie, d’Afrique et d’Amérique. Il a été la quasi constante et universelle réalité de l’humanité pendant des millénaires. C’est le christianisme seul qui a déclenché la logique et la dynamique de reconnaissance de la dignité humaine discréditant peu à peu cette pratique. Dans la foi au Christ, devant Dieu, il n’y a plus en effet désormais «ni Juif, ni Grec, ni esclave, ni homme libre, ni homme, ni femme» … car ils sont tous «un en Christ Jésus». (Saint Paul, Epître aux Galates, 3-28)".

2. "Pour ce qui est des deux millénaires de notre ère, et sans considérer l’immense Extrême-Orient, tout aussi esclavagiste, le nombre des esclaves européens (et notamment ceux issus des pays slaves (d’où le mot esclaves) a été supérieur à celui des peuples africains. L’esclavage inter-africain sévissait partout et c’étaient des négriers africains qui vendaient «le bois d’ébène» aux Arabes et aux Européens. La Traite arabe a été numériquement supérieure (17 millions) à la Traite européenne (11 millions)."

3. "Si les pays d’Europe puis les Etats-Unis ont aboli l’esclavage sous ses formes traditionnelles, la Révolution française et les totalitarismes qu’elle a enfantés l’ont rétabli."

4. "L’esclavage dure toujours : (...) 800.000 esclaves au Niger (...), dans bien des pays musulmans (Arabie saoudite, Soudan, Mauritanie) (...), dans le laogaï (le goulag chinois)."

5. "L’esclavage existe encore chez nous avec les réseaux de prostitution et l’industrie pornographique."

Source: Michel Janva, Le Salon Beige

Pour Jean Sévillia, cette histoire faussée est un méfait du terrorisme intellectuel.

La Nef de février consacre un dossier complet à ce sujet, qu'il serait difficile de résumer ici. A noter simplement que, si la colonisation engagée au XIXè siècle avec l'expédition d'Alger (1830) eu pour but, avec succès, de réduire à néant les barbaresques, c'est la IIIè République, d'inspiration maçonnique, qui a développé un plan d'expansion coloniale assimilationniste au nom du "Progrès de l'Humanité". Et le FM Jules Ferry disait ouvertement que "les races supérieures ont un droit vis-à-vis des races inférieures. Je répète qu'il y a pour les races supérieures un droit, parce qu'il y a un devoir pour elles. Elles ont le devoir de civiliser les races inférieures"... (28 juillet 1885).

(Source: Michel Janva, Le Salon Beige, Esclavage : contre l'autoflagellation de la France.)

Et ce sont les descendants spirituels du raciste précurseur d'Hitler, Jules Ferry, qui aujourd'hui prétendent donner des leçons de morale!

"LA DISPARITION DE L'ESCLAVAGE SOUS LA DOUBLE ACTION DES FEMMES ET DE L'EVANGILE" (Régine Pernoud)

1- L'esclave, totalement dépourvu de droit, l'esclave-chose, tel qu'il était dans le monde romain, ne pouvait évidemment survivre longtemps à la diffusion de l'Evangile.

3- "L'esclave, qui était une chose, devient une personne" (Régine Pernoud)

2- L'abolition de l'esclavage au VIIe siècle par Sainte Bathilde, Reine des Francs